un_ptit_gars a écrit:A mon sens il ne faut négliger aucune sphère pour aller mieux, et ça passe aussi bien par l'aide au corps physique, que le travail de nettoyage dans les corps plus subtils...c'est donc un duo complémentaire, qui j'espère t'aidera a réellement avancer.
Et bien je l'espère, en tout cas je tente de bien m'entourer, j'ai Asinaria comme énergéticienne, j'ai une diététicienne orientée bio, j'ai un kiné/ostéo qui s'est lançé le défi de trouver le moyen de me soulager, et j'ai un médecin Chronimed. Si avec ça je ne m'en sors pas !
Je viens de lire ce passage dans la dernière lettre d'information d'Alternative santé, et je souhaitais le partager avec vous. Ca rappelle qu'il ne faut pas se lancer seul (sauf si l'on a suffisamment de connaissances bien entendu, comme certains ici qui en savent davantage que nombre de médecins) et ça rappelle aussi qu'il faut d'abord renforcer son organisme avant toute tentative de détoxification (c'est dit souvent sur le forum mais ce résumé concis est pas mal fait) :
Une cure de détox, oui, mais gare au résultat inverse…
Sur le plan thérapeutique enfin, il existe des protocoles de détoxication en pagaille, ce sont les mêmes que pour le mercure. Mais devant tous les conseils « éclairés » prodigués ici et là une grande vigilance s’impose.
Dans les cas d’intoxication les plus aigus on évitera difficilement la case « hôpital ». Mais pour ne pas en arriver là, il est utile de faire appel à des protocoles ciblés éventuellement accompagnés de mesures de restauration globale (irrigation côlonique notamment).
Le problème n’est pas d’utiliser les bonnes substances (chlorella, Laminaria japonica, ail des ours, coriandre, silymarine, etc.) mais de les utiliser sciemment. Ce qui suppose deux préalables :
1. Consulter un thérapeute compétent, capable de détecter l’empoisonnement, d’évaluer son degré (plus par l’anamnèse et/ou des tests énergétiques que par des analyses sanguines ou urinaires peu fiables).
Certains médecins savent faire cela, leurs noms circulent sous le manteau. Ceux-là mesurent chaque jour la gravité du problème chez les enfants qu’on leur envoie…
2. Toujours renforcer son organisme avant d’engager un processus d’élimination car la cure de détox fait rarement dans la dentelle (une partie des bons nutriments part avec les mauvais) et peut provoquer nombre d’effets indésirables sur un organisme affaibli.
Tout protocole d’élimination doit donc être précédé d’une complémentation nutritionnelle substantielle d’1 ou 2 mois.
Autrement dit, ce genre de cure ne se fait pas à la légère par l’auto-traitement ou des protocoles non-cadrés : cet amateurisme est la meilleure façon qui soit d’accélérer involontairement la mise en circulation du cadmium et des autres toxiques et de précipiter un empoisonnement dont les conséquences ne se seraient peut-être jamais manifestées.
Dominique Vialard