de zaza » Sam 7 Jan 2012 13:08
OK
Ja vais essayer d'être c-l-a-i-r-e !!
Alors accrochez-vous ça va être long.
Une radiesthésiste/ nathurophate m'a prescrit le traitement homéopatique que j'ai décrit parce que en effet mes premiers symptômes suite à la dépose de mes amalgames faite n'importe comment ont été intestinaux, avec réveils nocturnes, douleurs et impression de m'empoisonner + symptômes d'un intestin poreux.
Elle ne savait pas précisément si j'étais intoxiquée aux ML et moi j'avais juste des doutes, je n'avais pas encore fait les tests qui ont depuis largement confirmé cette hypothèse (test d'allergie à "Astralab" / Test DMPS à "Micro Trace" et porphyrines urinaires à Paris, je crois que mon médecin avait vraiment besoin de preuves !!)
Maintenant je fais le lien entre mes pb digeo et l'intoxication. regardez le site : www.dentiste.org/articles/amalgames.html
Je pensais un peu que c'était une évidence ici, ça dit ça :
Le mercure et les ML se fixent aussi dans la paroi intestinale et détruisent les mucueuses = les nutriments ne sont plus absorbés et certaines mollécules traversent la paroi intestinale = empoisonnement par ces mollécules = certains de nos symptômes
D'où bien sûr le régime SG et SL, ce sont les mollécules de ces aliments qui passent en priorité la paroi intestinale et à terme créent aussi des maladies auto-immunes.
Pour revenir à mon cas, le traitement que je prends avant de faire quoi que ce soit d'autre m'aide vraiment, là je ne l'ai d'ailleurs pas encore terminé. Donc il ne s'agit pas de chélation d'aucune sorte, mais juste de requinquer le corps pour qu'il puisse se détoxifier tout seul. Depuis pour moi c'est énorme, tout n'est pas résolu mais : je digère et je dors ! On est peu de chose non ?
Je ne sais pas si ça suffit, j'essaye.
Pour la "Kinder" que je site : elle a été intoxiquée aux ML gravement, a vu et connait des médecins qui traitent au DMPS, et a choisi de se soigner et de soigner autrement, elle est présidente de la "Fondation internationale sur la micro-toxicité", clinique dédiée à ce pb en Suisse. Grosse structure.
Voilà, il y a d'autres propositions de soins.
Je ne sais pas si c'est mieux, après il faut aller la rencontrer au fin fond de la Suisse - moi je viens juste de la contacter - et ce n'est pas donné non plus. Elle se fout un peu des tests DMPS, se concentre sur les symptômes et la remise en état dentaire.
Allez je finis :
Le traitement dont je parle (depuis pas mal de temps maintenant) n'existe pas en France. Si j'ai bien compris ma naturopathe :
le labo "sanum" travaille la qualité des médocs dans leur interaction avec le vivant. Elle pense par exemple que plein de compléments alimentaires ou même médocs homéopathiques sans parler de ceux classiques ne nous font guère de bien, vu comment ils ont été produits, comment ils ont voyagé où ont été conservés...
OUF !!
Der de der un morceau du site que j'ai référencé, mais vraiment je vous conseille d'aller voir :
Les conséquences toxicologiques de la contamination d'un organisme par les métaux lourds diffèrent suivant la voie d'entrée. On peut grosso modo distinguer deux cas de figure concernant d'une part les métaux lourds qui se retrouvent dans la circulation générale (contact cutané, injection directe, inhalation, passage transplacentaire), d'autre part ceux qui envahissent le tube digestif (et dont une faible partie finira par rejoindre la circulation générale).
Quand la contamination passe dans la circulation générale sans passer par le tube digestif, les métaux lourds rejoignent les cellules où ils se fixent aux membranes, aux enzymes, au matériel génétique. Le fonctionnement de la cellule est perturbé voire stoppé par blocage des échanges membranaires et des réactions enzymatiques. Suivant le type de cellule contaminée, les signes cliniques seront différents, représentés par des manifestations hépatiques, rénales, neurologiques… Fixés au matériel génétique, les métaux toxiques peuvent provoquer des mutations cancérigènes ou la mort cellulaire par apoptose.
Quand la voie d'entrée de la contamination est le tube digestif (contamination par voie orale), ce qui est le cas notamment avec les eaux riches en plomb venant d'anciennes canalisations ou avec les quinze à vingt microgrammes (estimation basse) de mercure ingérés en moyenne chaque jour par les porteurs d'amalgames dentaires (chiffres de l'OMS), les peptides trifoliés et les enzymes digestives sont les premières molécules soufrées à entrer en contact avec ces polluants et à les fixer.
Les conséquences sont immédiates et expliquent l'impact considérable des intoxications par les métaux lourds sur le syndrome digestif :
- en ce qui concerne les enzymes digestives, celles-ci déjà inefficientes par rapport aux molécules inconnues de l'alimentation moderne sont modifiées dans leur structure stéréochimique et physique par les métaux lourds, ce qui augmente d'autant leur inefficacité
- en ce qui concerne les peptides trifoliés, ceux-ci sont également modifiés dans leur structure spatiale sur laquelle repose leur résistance aux enzymes protéolytiques. Non seulement ils perdent leur efficacité protectrice et réparatrice sur la muqueuse du grêle, mais on peut aussi supposer qu'en ayant subi une modification de leur structure protectrice, ils deviennent largement vulnérables à l'action destructrice des protéases.
Le résultat immédiat est une muqueuse intestinale fragilisée parce que non protégée et non réparée en cas de lésion, bloquant le passage de nutriments indispensables et laissant passer de nombreuses substances toxiques comme les peptides opioïdes issus du métabolisme du gluten et de la caséine, ou comme des substances antigéniques comme Proteus mirabilis ou des fragments de peptides microbiens responsables de multiples pathologies auto-immunes. Et parce que la principale source orale de contamination mercurielle est d'origine iatrogène, liée à la pose, la dépose et la présence en bouche d'amalgames dentaires au mercure, comme nous allons le démontrer maintenant, il est urgent pour les praticiens en odontologie de mettre définitivement au rebus cette méthode archaïque de restauration coronaire, tant pour leur santé propre que pour celle de leurs patients.