de gogote » Mer 7 Oct 2015 12:04
Bonjour et merci de vos retours !
La piste EHS ne fait plus vraiment de doutes.
Je suis triste de voir à quel point j'ai perdu peut-être beaucoup de temps et à la fois tellement ravi d'avoir une nouvelle piste évidente. Je comprendrai ainsi mieux pourquoi le changement d'alimentation est insuffisant. Ma mère m'a toujours alerté sur ces ondes mais j'étais plutôt jeune et têtu malheureusement. J'ai envie de dire que je paye peut-être 15 ans d'un lourd passé de joueur de jeux en ligne averti, et de box dans ma chambre branchée constamment en wifi par mon père. Il faut aussi notifier le jeu sur des gros écrans cathodiques à l'époque, et les nuits de montages vidéos pinnacle de mon père dans ma chambre quand je tentais en vain de dormir.
Aujourd'hui, je comprends peut-être mieux mes troubles d'apprentissage de l'époque, qui se sont développés soudainement et la chute de résultats scolaires. C'était une forme de procrastination obligatoire tant je n'arrivais pas à gérer mon flux de pensées. C'est d'ailleurs toujours le cas, à tel point qu'on vous fait croire que c'est inhérent à votre tempérament. Je ne le croyais pas, car je suis quelqu'un appréciant calme et discernement en général.
J'ai eu cette preuve pas plus tard que cette nuit en débranchant l'ensemble des prises de la pièce à coucher. 70% de symptômes et ondes dans la tronche en moins, j'ai mieux dormi avec une meilleure forme au réveil ( impensable ), en outre d'une étrange sensation de me "décharger" au cours de la nuit. Ce mieux-être spontanée rien qu'en débranchant une pièce alors qu'il y a toujours x antennes relais, wifi et appareils en tout genre autour me fait penser que je dois être bien chargé.
Concernant la maison, sentiment mitigé. J'ai un garage avec des pièces au sous-sol très bien isolé et je m'y sens vraiment bien. Les troubles semblent se calmer à cet endroit. Par contre, dès que je monte à l'étage, j'ai capté la même sensation de déflagration au cuir chevelu que dans ma pièce de bureau d'appartement. A force de chercher autour de moi sans comprendre, bingo, une antenne hertzienne juste chez le voisin pile à cet endroit. Il semble que je réagisse fort à celles-ci actuellement. Pour le reste de la maison en terme de sensations, c'est mieux, mais pas folichon non plus. Je me méfie beaucoup de cet endroit quelque part, puisque je refusais d'y aménager auparavant rien qu'à l'idée d'une l'antenne relais pas très loin. Surtout, quand sur 4 voisins, on vous dit que 3 ont Alzheimer, c'est révélateur à mon sens. Le truc, c'est qu'un ensemble de paramètres m'ont poussé à accepter. Pas de loyer car maison des parents de la copine, petit jardin et ... bah c'est une maison. Je respire enfin l'air naturel, peux sortir et marcher sur la terre, les wifi sont quasi inexistants ( seulement 2 au max de la journée ), les murs sont épais. Incomparable avec l'appartement d'immeuble au 4eme étage entouré d'autres immeubles des années 60, son manque d'isolation et cf le listing plus haut. Il faut savoir que la cause primaire de mon déménagement résulte aussi de fortes nuisances sonores du voisinage qui restera encore deux ans protégé par un bail que la propriétaire ne peut pas casser. La source de stress est énorme, avec 5 gamins qui crient, pleurent, ainsi que les parents se frappant en langue étrangère à longueur de temps. Ce facteur de calme de la maison sera non négligeable dans le cadre du repos pour l'organisme.
Enfin et pour l'heure, mon objectivité est altérée concernant le ressenti de la maison puisque j'ai jeûné à la pastèque toute la journée afin de justement tester les réactions de mon organisme dans ce lieu. Ce fut une journée le yoyo entre fatigue importante et mieux-être soudain. Je rejoins ptit-gars sur le lien avec le foie. Et j'assure vraiment que le cuivre est l'un des marqueurs de ces problèmes magnétiques dans le corps, ou du moins, un fort récepteur d'ondes, au même titre que le sont les métaux lourds, les peptides alimentaires, les bactéries etc.
J'ai contacté l'association " Les pieds à la terre " afin d'obtenir une aide à mieux comprendre le phénomène électromagnétique et pourquoi-pas effectuer les tests nécessaires dans ce nouvel habitat. Je prévois immédiatement l'achat d'un tapis anti-ondes pour l'ordinateur. La chambre ne contiendra aucun appareil. L'investigation démarre tout juste, mais le changement est déjà radical en présence de ces champs, ne serait-ce qu'au niveau des troubles intestinaux.
Je reviens sur mon parcours santé récent suite à ma demande de récupération du dossier médical au CHU et réception des comptes-rendus de neurologie hier. Je vous en transmets un condensé car ya du biscuit en terme de contradictions et de raisonnement allopathique d'après-moi. Voici la conclusion du mois de juillet, celle du fameux monsieur affirmant que troubles intestinaux et neurologiques ne sont pas liés. Pour mémoire, ce constat survient après une première consultation pour l'ensemble des troubles, et prescription de sa part de marqueurs pour maladie de Wilson.
" pas de syndrome pyramidal, pas de déficit moteur objectif, réflexes ostéotendineux présents et symétriques, pas d'atteinte de l'extrémité céphalique. Sur l'évolution, on retrouve un bilan de cuivre avec notamment la céruloplasminemie négative. Il n'a cependant pas ressenti d'aggravation sur le plan neurologique. On retrouve toujours une hypoesthésie au niveau de l'hémicorps gauche notamment du bras et du visage, mais pour rappel une IRM cérébrale normale et potentiels évoqués sensitifs normaux. J'ai du mal à rattacher la symptomatologie actuelle avec le reste des plaintes. Devant l'absence de syndrome extra pyramidal franc à l'examen clinique, je n'irai pas plus loin au niveau des examens si ce n'est des prélèvement pour la recherche d'une maladie de Wilson même s'il y a peu d'arguments ce jour. il faudra suivre l'évolution s'il venait à y avoir un vrai doute, il pourrait être envisagé un DATSCAN qui pourrait éliminer le diagnostic. Devant un examen rassurant ce jour, je ne le demande pas à l'heure actuelle. Le patient doit consulter d'autres spécialistes, dont les médecins de la Médecine interne (blabla). Sur le plan neuro, l'évolution est pour moi plutôt rassurante avec un examen clinique montrant que peu d'anomalies. Je reste à disposition auprès des autres spécialistes pour discuter une entité qui recouperait l'ensemble des symptômes dont la forme neurologique me parait à l'heure actuelle pas prédominante.
Je trouve cela ahurissant : le gars me suspecte Wilson sans trop y croire mais avec un léger doute quand même. Les résultats sont anormaux mais on s'en fout; le patient ne se plaignant pas du pire, tout va bien. Sachant que j'avais transmis mon listing d'une cinquantaine de symptômes, que je ne vais pas répéter à chaque fois. En outre, il perçoit et confirme mes plaintes sensitives côté gauche. Pour autant, il sous-entend ne pas diagnostiquer de SEP ou autres pathologies entrant dans les cases. Le monsieur est donc gentiment renvoyé aux collègues - qui diront bien sur la même chose dans leur domaine.
Rien qu'à l'égard de Wilson, dire qu'il y a peu d'arguments est complètement faux tant je me rapproche de cette maladie. A tel point que j'ai du à nouveau être hospitalisé voici trois semaines en hépato gastroentérologie, passant à deux doigts du test génétique pour Wilson. Pour la petite histoire, les trois hépato gastro de la ville se sont penchés sur mon cas. L'un voulait me diagnostiquer Wilsonien mais pas les deux autres qui maintiennent que c'est simplement lié à une maladie de Gilbert. ( complètement con sachant qu'en terme biologiques et de symptômes, je sors complètement de cette simple pathologie ). Durant cette hospi, j'ai repassé une échographie montrant une splénomégalie, et suis en attente du prélèvement de 12 grands tubes de sang. Dans le listing, l'analyse génétique de Gilbert, et à nouveau tous les tests pour Wilson + anticorps du diabète type 1. Il convient de dire que c'est une interne de médecine interne qui a tranché pour ne pas faire le test génétique de Wilson car trop cher blabla, et qu'on fait celui de Gilbert d'abord, en avisant selon les résultats ! J'attends les résultats avec impatience. Cette hospitalisation a été réalisé un peu en urgence, suite à une nouvelle terrible crise ou j'ai cru y passer tant mon pancréas/foie/rate me tordaient de douleurs. J'ai fait une sorte d'inflammation aigu généralisée, et en même temps, je me suis rendu compte que j'étais constamment en hypoglycémie forte, contrairement à ce que je pensais. J'ai vraiment réagi comme un diabétique lors de cette crise plutôt de type 1. Encore et toujours, cela arrive lorsque je réintroduis modérément des aliments chargés en cuivre comme les pommes de terres. Voici pour la petite histoire hospitalière, et mon absence dernièrement. Revenons-en aux conclusions du neurologue.
il émettait l'idée d'un DATSCAN si je reconsultais. Ce que j'ai donc fait avec les résultats que vous connaissez pour les prises de sang ambigües de Wilson. J'affirme effectivement que les symptômes s'apaisent depuis l'instauration du régime propre aux wilsoniens avec le minimum de cuivre possible, ce qui lui en effleure une pour toucher l'autre puisqu'il décide simplement de me confier à ses collègues, qui concluent ( mais je suis dans l'attente du résumé ) à un syndrome de fatigue chronique associé à la fibromyalgie. Dans l'histoire, ça me choque de parler qu'un DATSCAN confirmera ou non un diagnostic de Wilson. C'est même ahurissant car jamais une maladie de Wilson ne s'est diagnostiqué via un DATSCAN. Cet examen est justement celui de Parkinson/démence à corps de Lewy/Alzheimer. Sachant que j'avais peur d'un Parkinson lors de ma première consultation. Du fait des symptômes intestinaux et neuro-musculaires majeurs, des tests alimentaires, et une céruloplasmine basse, il aurait été obligatoire de poursuivre l'enquête sur cette la maladie de Wilson. Il n'en a rien été, et je me suis retrouvé hospitalisé en urgence après avoir réintroduit certains aliments.
Ma conclusion, c'est toujours cette potentialité d'une maladie de Wilson. En ce sens, le cuivre qui s'accumule dans mon organisme ferait office d'aimants attirant les ondes, créant une forte électrosensible déclenchant beaucoup d'autres symptômes et ceux de cette maladie. Voilà pourquoi un malade de Wilson doit absolument chélater sans quoi il meurt de troubles neurologiques et hépatiques. Ces troubles sont peut-être une forme de finalité de courants qui déglinguent notre équilibre magnétique, fautes d'un surplus cuivrique, au même titre que le serait le mercure.
L'idée seconde, c'est que l'électrosensibilité soit plus/moins primaire, m'ayant déglingué le système oxydatif depuis enfant. Mon organisme faible et surchargé attire et réagit à un grand nombre de champs électromagnétiques, d’où s'en-suivent des symptômes multiples que le corps médical n'arrive pas à relier à une pathologie précise.
La dernière idée est un mélange de tout cela, à savoir que l'alimentation et le développement électromagnétique nous entourant sont sources importants de cuivres, qui s'accumulent dans les tissus et les cellules. Cet amas donne lieu à une forte résonance électromagnétique, et de multiples pathologies. Ainsi, on vous dira peut-être d'attendre quelques années comme moi pour déclencher ce que le corps médical nomme slécroses en plaques, parkinson, alzheimer & autres aqueducs neurodégénératifs. Celui qui se nourrit de cuivre, passe son temps au contact de la tuyauterie et ses ondes, et/ou a bu de l'eau potentiellement fortement intoxiquée deviendra un neuromalade. Au même titre que toutes les pollutions environnementales que nous connaissons et découvrons.
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gogote le Mer 7 Oct 2015 12:44, édité 4 fois.