bon je post ça la, les patrons le déplaceront si ils jugent que ça en vaut la peine

On parle souvent de la nécessité de tester lyme pour préparer une chélation, et ti-gars viens de mettre un texte qui décris très bien le risque d'une chelation "in-vitro" dans un organisme un peu plus complexe qu'une éprouvette.
Je met donc une traduction, mauvaise mais on fait ce qu'on peut, de ce texte :
http://www.lymediseaseresource.com/word ... il-part-1/On y trouve une approche plus globale du problème de lyme, et surtout du fait que lyme ne veut pas dire grand choses, et qu'un test négatif ne veux pas dire grand chose.
J'avais personnellement conclus, au début de mon parcours, qu'il était plus simple de faire un traitement au long terme, sans s'acharner à vouloir tout tester tout à tout prix.
(essayez donc de valider votre contamination à Babesia, Bartonella, et Ehrlichia , pour voir !!)
3 ans plus tard, je n'ai pas testé chez schaller, je n'ai pas testé mes ML, et je n'ai quasiment plus de symptômes. Ceux qui restent étant à mon avis dû a ma légère acidose et au tabac.
Voila, comme c'est ma page, je cause de moi, un peu. Mais j’arrête.
allez je m'y met
"
POURQUOI LES TRAITEMENTS DE LYME ECHOUENT, partie une.
mes patients ont vu en moyenne entre 10 et 50 médecins avant moi.
voici quelques raison ,parmi d'autres, de ces échecs.
1) Beaucoup de patients et de praticiens ignorent complétement la manière d'interpréter un western blot. "Si une personne à une bande, elle a lyme !!

". Les bandes de lyme sont les bandes 18, 23, 25, 31, 34, 39, 83, ou 93. [...]. Si votre praticien veux faire un ELISA, il ne vous reste qu'a courrir.
2) dix ans de traitement pour lyme ne sont pas acceptables. L'utilisation d'un traitement IV(intraveineuse) année après année signifie que le praticien a une approche digne des années 1990. Ces traitements "curatifs" peuvent soulager, mais ne règlent pas le problème.
[...]
4) L'ignorance des nouvelles données conduit à l'échec des traitements. Par exemple, j'ai publié de nombreux livres sur les nouvelles avancées des infections transmises par les tiques. Certains médecins "spécialistes de lyme" ne les ont toujours pas acheté des années plus tard. Ce sont leurs patients, l'ayant lu, qui ont fini par "leur jeter un exemplaire [à la gueule] dessus. tous les nouveaux ouvrages présentent des informations critiques.
5) certains praticiens croient en un "pape" de lyme. Mais aucun n'expert n'est parfait. personne ne maitrise l'intégralité des informations récentes au sujet de lyme et ses co-infections.
[...]
7) les recomandations actuelles de traitement sont souvent "viciées". les traitements par intraveineuse sont encore souvent administrés sans co-traitement des kystes, que ce soit avec des plantes ou des molécules synthétiques. [...] Ces traitements échouent, même sur de longues périodes.
8)La faille dans tous les traitements Bartonella est le retard d'un an sur les nouvelles études. J'ai vu que le Levaquin, rifampine, Zithromax, la doxycycline, Mycobutin, Cumunda, banderole, et des machines Rife à diverses fréquences peuvent diminuer la charge toxique du corps et conduire à des sentiments initiaux d'amélioration. Aucun de ces traitements ne menera à la guérison de Bartonella.
[...]
10) les connaissances sur le traitement et le diagnostique de Bartonella sont désastreuses. Considérer Bartonella comme une co-infection est une hérésie. Ce serait plutôt lyme la co-infection.on la trouve dans un grand nombre de vecteurs communs, y compris les acariens, les puces, les excréments de puces, de la salive d'animaux, et les tiques. Bartonella peut baisser ou supprimer les anticorps à la maladie de Lyme, Babesia, Ehrlichia, Anaplasma et même... de lui même ! C'est le stade ultime de l'infection furtive. Il supprime les anticorps, les fièvres, et le système immunitaire. Il endommage les organes de 20 à 60 manières différentes.
11) l'utilisation de protocoles thérapeutiques "fixés d'avance" est une approche sadique de la médecine. Elle traite chaque personne, humaine, malade, comme si c'était des machines construites à l'identique et ayant les mêmes pannes. [...]Cela transforme le médecin en criminel, qui prends les gens pour des objets afin de les faire coller à ses perceptions. [...]
[...]
14) Si votre laboratoire ne teste pas de nouvelles espèces telles que Babesia duncani ou les nombreuses autres espèces documentées de Babesia ou Bartonella qui infectent les humains, vous ne pouvez pas exclure ces infections avec un "résultat négatif". [ car babesia camoufle lyme]
[...] vous trouverez la fin du texte, ainsi que des conseils d'analyse, sur la version anglaise.
"
Ce texte est ancien. A l'époque l'auteur s'élevait contre la négligence totale de prise en compte de la forme kystique. L'avenir lui a donné raison.
J'en tire deux conclusions: on est pas prêt de les causes "originelles" de nos problèmes, car il est dur de trouver le début du cercle. (cf Kate et sa quête de la methylation

)
L'approche globale deviens une nécessité scientifique, un peu plus prouvée chaque jour.
a ++