Article paru le 10/12/2009
Les êtres vivants sont composés à 99% de nucléons (protons et neutrons). Selon certains chercheurs, au cours des quelques milliards d'années durant lesquelles la vie a colonisé la terre, elle aurait "activé" des nucléons pour les rendre utilisables par les être vivants, leur donnant une certaine "vibration" détectable depuis peu par les appareils de physique moderne. Des êtres vivants pionniers comme les cyanobactéries, pourraient avoir ce role de "bio-activation" des nucléons.
Selon le professeur Serginsky, de l'univervité de Tomsk, la bio-activation nucléaire réserve d'autres surprises. "Nous avons identifié une forme de gluons (particules de liaison des nucléons) orginaux dans les atomes extraits des êtres vivants, qu'on ne trouve pas dans la matière inorganique comme la pierre ou les métaux. Ces gluons vibrent différement selon leur provenance".
Toujours selon ce professeur, l'état des nucléons et des gluons de la matière végétal est voie de dégradation : tandis que les "bio-vibrations" sont bien visibles avec ses appareils dans les atomes de plantes sauvages de zone préservées (et fraichement coupées), elle le sont à peine dans les plantes cultivées (blé, pomme de terre) et pas du tout dans la matière minéral inerte. D'où sa conclusion : "La production industrielle fait "mourrir" peu à peu la matière, y compris au niveau nucléaire". Les bris de noyaux atomique, réalisés par les centrales nucléaire et les essai nucléaire atmosphérique depuis la deuxième guerre mondiale, ont fortement contribué à accéler cette dégradation en répandant sur toute les terres des "micro-désordes nucléaires", indique le professeur qui travaille depuis 30 ans sur la question.
[...]
Se protéger de cette dégradation ne semble pas chose simple. Toutefois depuis quelques années, quelques applications pratiques ont vu le jour, sous forme d'appareils "régénérant la vibration nucléaire"
(voir par exemple
www.revitaliseurnucleons.com ). Selon leurs promoteurs, ils peuvent améliorer l'état de nombreuse maladies tels que les rhumatismes, le diabète, Alzheimer, voir des cancers.
Mais il leur faut faire leur preuve devant la communauté scientifique qui reste septique.
[...]