MELODIE

... autour de l'oreille. ⋅  Composition de la solution ⋅  Douche vaginale Bien que je trouve cela excessif, je pars du principe que certaines femmes pratiquent cette douche quotidiennement. Plus la douche est régulière, plus elle doit être neutre mais avec un tout petit peu d'effet. En cas de pathologie, il suffira de remonter légèrement les dosages. La composition de la douche devrait donc être la moins irritante possible. Pour cela, l'eau hypotonique (=eau à boire, =eau claire) est à éviter. Avec l'eau claire, ce que cherche la femme à rincer va entrer dans la cellule par osmose. Cela est tout simplement le phénomène d'hydratation. C'est l'eau à l'isotonie qui est la solution la plus neutre. Cependant, une eau légèrement hypertonique (ex: 1,5x la valeur isotonique) fera sortir les minéraux non-physiologiques dont les métaux-lourds. Avec de l'eau légèrement hypertonique, la cellule va se débarrasser partiellement de son eau (et de ses solutés dont les solutés non physiologiques). Le rinçage sera effectif car le mouvement d'eau ira de l'intérieur vers l'extérieur. ⋅ Avec le froid, la lymphe sera envoyée vers la circulation générale et du sang sera apporté de la circulation générale. Avec le froid, les solutés physiologiques seront drainés jusqu'aux ...

Je place ici une conversation dont j'ai demandé à mon interlocutrice si elle n'avait pas de contre-indication à ce que la partie détox soit publiée. Son pseudo a été changé en Antigone. Des compléments de détails sont disponibles au post suivant. ... De mon côté, je ne sais trop si je suis intoxiquée aux ML, mais probablement. J'ai l'endométriose, une dysbiose très importante (putréfaction, dû au pathogène E. Coli surtout souche commensale initialement, beaucoup de ballonnements, malgré un gros travail sur l'alimentation, j'étais vegan avant en plus mais ça ne m'a pas réussi, bref), hypothyroïdie non auto-immune, acouphènes, acné, dermite, manque de vitalité globale. Des co-infections mais je n'y fais pas trop attention car je pense que c'est mon système immu que je dois surtout renforcer. Petit à petit, je ressors la tête de l'eau, après des mois infernaux. De gros changements alimentaires couplés aux douches froides, au brossage de la lymphe, aux bains dérivatifs, aux jeûnes hydrique et sec, m'ont aidée. Et pourtant, j'ai le sentiment de toujours mal détoxifier, et, comme probablement beaucoup de malades chroniques, d'avancer à pas de tortue... Ma plus grosse problématique résidant au niveau digestif, je me tords l'esprit à savoir si, oui ou non, je devrais faire la purge yogi...

... séances, mais peut-être que la pratique régulière d'un sauna par jour aurait permis de voir des améliorations d'une semaine sur l'autre. Cela aurait peut-être traité tous les tissus ordinaires en profondeur. L'avantage avec le sauna sec, c'est que l'élimination a lieue avant la mobilisation. Il n'y a donc pas de relocalisation des ml dans le corps, donc pas d'hydrotomie percutanée, pas d'incidents d'intestins, pas de problèmes de picotements, pas besoin de crèmes,... Il faut juste faire les petits bains de bouche au sel, et basta. De mémoire, je perdais à minima 500 g par séance, soit 1/2 litre d'eau, soit l'équivalent d'une journée de déshydratation. Cependant, 3 jours de déshydration pompent l'eau en profondeur, alors que le sauna extrait une eau en surface toujours renouvelée. Les deux techniques ont donc la même force en volume mais pas les mêmes profondeurs d'intervention. Mais à force de répéter les séances de sauna, l'eau profonde devrait finir par monter en surface, et la diffusion ionique devraient également faire sortir les ml. Le cerveau est dans un bunker physiologique (boîte crânienne et bhe). Il est donc éventuellement possible que le sauna n'atteigne pas le cerveau en profondeur car il y a trop de compartiments liquidiens intermédiaires. Si cela avait été le cas, ...

... pas le cas. Avec le NaCl, l'eau de l'intra se déverse certes dans l'extra mais l'eau ne quitte pas le volume de la peau. Au final, le volume de la peau ne perd donc pas d'eau. Il conviendra ensuite de faire circuler l'eau de l'extra comme une rivière souterraine par de l'activité physique ou par de l'argile. Ainsi, de l'eau s'infiltrera dans la peau par les capillaires, et poussera l'eau chargée en ML hors de la peau. J'ai du faire une bonne vingtaine d'applications, je pressens de bonnes améliorations de la situation. Je n'ai presque plus de frissons, ou autres symptômes bizarres. Surtout je ne sens plus de gros picotements lors d'une déshydratation, je continue donc a appliquer pour pallier aux nouveau arrivages de ML. Méthodologie provisoire : ⋅ 25cl Huile végétale de Jojoba, Macadamia, ou Noisette ou autre huiles pour peaux grasses (alcalines) ⋅ Mélanger l'huile avec 2g de lécitine de soja (tensio-actif, non ionique, non éthoxylé, non-irritant). ⋅ Chauffer à 50° ⋅ Ajouter jusqu'à 25cl d'eau salée (NaCl) et chaude (50°) ⋅ Les premières fois, commencer avec 2g de sel ⋅ Sans symptômes, ajouter 4g les fois suivantes, puis 6g et enfin le max avant saturation de l'eau : 9g (360g/l) ⋅ Mélanger à chaud ⋅ Laisser ...

PLAN DU POST : ⋅  PHYSIOLOGIE DE LA PEAU ⋅  GÉL DESHYDRATANT ⋅  ARGILE ⋅  HYDROTOMIE PERCUTANÉE ⋅  PEAU, RETOUR AUX PROTOCOLES DE BASE La série de déshydratation du mois de janvier à révélé que la peau était l'objet d'une accumulation persistante de toxines. Les symptômes qui se manifestaient étaient des picotements, la germination de grains de beauté, des frissons de surface, froid aux mains... À chaque fois que j'éternue, j'ai des fourmillements qui partent de la tête, qui parcourent la peau et qui perdurent 30 secondes dans les extrémités des membres. Comme d'habitude, il n'y a pas vraiment de symptôme aiguë mais c'est plutôt une foule de petits désagréments sourds. Lors de la déshydratation, les ML vont sortir des cellules pour se déverser dans le sang. Les ML vont donc parcourir les capillaires et, je ne sais pourquoi, ils vont s'installer dans la couche intermédiaire de la peau. Contrairement à la peau, les autres organes du corps ne présentent pas de couche cornée. Ces organes ne seraient donc pas concernés ...

... Mais je ne vois donc pas l'intérêt d'en prendre de façon chronique car il sera tari avant de pénétrer en profondeur. L'acide citrique présente 3 regroupements (OH, =O), il y a donc des géométries intermédiaires électriquement neutres entre l'atome et la molécule, les réactions sont donc plus délayées. Cependant, il y a 4 bords d'attaque OH, il y a donc beaucoup plus de chance de réagir qu'une molécule avec un seul OH. L'acide citrique aura donc le temps de pénétrer en profondeur avant de réagir alors que l'acide phosphorique va réagir dès qu'il sera ingéré. Pour que le jus de citron pénètre en profondeur, j'en prendrai un peu à la ré-hydratation. Le métal sera alors transformé en ion et il pourra sortir à la dé-hydrataion suivante. L'effet de l'acide citrique sera certes lent, mais contrairement à l'acide phosphorique il aura lieu en profondeur. Il suffira de répéter l'exercice pour bien récurer. De plus, l'acide citrique ne comporte que du carbone, il est donc totalement organique, alors que le phosphore ne l'est pas. Je me demande si un bain avec du jus de citron pourrait aider à ma problématique cutanée. Les terminaisons en COOH (HO-C=O) permettent donc d'obtenir un gradient de réaction et des circonstance de pH que n'ont pas les sites en -OH seuls ou en =O seuls. Ces ...

Avec tous ces jeûnes et ces déshydratations, je peux désormais dégrossir les enjeux spécifiques à chaque méthode de mobilisation de façon à envisager un ordonnancement général. En l'absence de mobilisation, les toxines semblent s'accumuler dans les tissus "profonds", cerveau, cœur, reins, muscles, tissus adipeux, ..., cad des tissus en absence de contact avec l'extérieur. Pendant une mobilisation (déshydratation ou jeûne), les toxines vont donc être relocalisées vers des organes qui veulent bien les accueillir. Une mobilisation va donc re-ventiler la répartition des toxines. Certains organes vont se désintoxiquer, d'autres vont recevoir des toxines. C'est le principe des vases communicants. Comme les toxines mobilisées vont remonter "en surface", cad plus en moins en contact avec l'extérieur, il sera donc possible de les intercepter et de les éliminer définitivement. Selon les organes, l'élimination ne se fait pas automatiquement, il faudra donc l'activer ...

Je vais suspendre mon programme de déshydratations pour deux raisons. ⋅ Parce qu'il me semble que j'ai de légères améliorations continues au cerveau depuis que je fais les bains de bouche au sel. ⋅ Parce que j'ai accumulé trop de toxines dans les tissus ordinaires qui parviennent de la dernière et récente série de déshydratations. ⋅ Symptômes au cerveau et bains de bouche au sel. À propos de ces améliorations, je souhaite avoir le coeur net si elles parviennes de ces bains de bouche. Tant que les symptômes cérébraux semblent diminuer tout seuls, il n'y a pas de raison d'activer la détox par la déshydratation. De plus, les éventuelles déshydratations ultérieures seront moins chargées en toxines. ⋅ Symptômes tissus ordinaires et déshydratations J'ai trop de problèmes au dos qui se sont accumulés à chaque déshydratation. J'ai aussi une petite fatigue générale, je crains d'avoir abusé de trop de déshydratations. Ça fait du bien d'arrêter ces ...

Il y a quelques semaines, j'ai donc repris les déshydratations longues. J'ai bien été prudent à ne pas faire aucune d'activité physique. J'allais même faire mes emplettes en scooter alors que les commerces sont à 50 m à pied. Résultats des courses, j'ai tellement peu bougé pendant cette reprise que je me retrouvé le troisième jour avec une gorge encore humide. J'ai donc prolongé jusqu'à ce qu'elle se dessèche un peu. Cependant, le léger assèchement attendu est parvenu le 4ème jour. J'ai déjà des améliorations au niveau des céphalées. Au cours de ces récentes déshydratations, le système digestif a bien tenu mais il y a eu quelques petits grumeaux dans la machine. Avant de reprendre, ces déshydratations, j'avais un système digestif passablement correct, mais je me plaignais d'un manque de robustesse. Je n'ai pas interrompu ces nouveaux cycles de déshydratations car la situation n'est pas pire après par rapport à avant. Mais je souhaite résorber ces légères anomalies rapidement. De toutes ...

Je souhaite faire un point sur la raison pour laquelle la marche hydraté désintoxique les intestins. Nota : ce n'est pas directement la marche qui est efficace, mais c'est le refroidissement du corps par la transpiration. Mon postula de base est que les ions suivent l'eau. Dans le cas d'une marche non-hydratée, l'eau est puisée dans l'intra des cellules. le sang est donc massivement chargé en ML qui s'accumulent dans les intestins. Et patati et patata, ça c'est okay, je l'ai déjà vu plein de fois. Pour comprendre le mouvement des ML, il faut suivre le circuit de l'eau de la source d'eau jusqu'à son extraction. Dans le cas d'une marche hydratée, l'eau fait le circuit suivant : [img]images/icones/icon2.gif[/img] Gorge [img]images/icones/icon2.gif[/img] Intestins [img]images/icones/icon2.gif[/img] Sang [img]images/icones/icon2.gif[/img] Peau [img]images/icones/icon2.gif[/img] Transpiration. De plus, l'eau en excès cantonne l'eau de l'intra là ou elle est. Le sang ne se charge donc pas de ML qui pourraient nuire aux intestins. Les intestins sont donc préservés de la source de ML qui parviendrait de l'intra des cellules. Comme les ML suivent l'eau, dans le cas d'une transpiration par marche hydratée, les ML quittent donc les intestins car le circuit de l'eau passe par eux et sort par...

... l'eau. Mais ce contexte-ci ne correspond pas au contexte physiologie d'une cellule. Dans le cas de la cellule, pour équilibrer les concentrations en solutés et en ions, l'eau et les ions vont migrer ensemble de l'intérieur vers l'extérieur (ou vice-versa selon le sens de l'osmose) de la cellule. OSMOSE AU COLLEGE DE FRANCE édit 21déc2020 ISOTONIC.jpg On peut voir les états de la cellule à l'isotonie et à l'hypertonie. Les filaments seraient des réserves de la membrane qui coulissent de façon à donner du jeu à la surface de la cellule. Sur le diagramme, on peut voir que la cellule peut augmenter son volume de 30% en une minute (phénomène d'hydratation avec de l'eau pure). Dans le cas qui m'intéresse, c'est l'effet inverse : vidange de l'intérieur de l'eau de la cellule par une solution concentrée (ex:40g/l).

... un peu trompeur sur le long cheminement que doit parcourir l'ion dans l'extra-cellulaire. 1024px-Rhoeo_Discolor_-_Plasmolysis.jpg Cette image montre que les 28 litres d'intra, qui sont représentés en un seul bloc dans le schéma du message précédent sur le sujet, sont, en fait, le volume total d'eau que contiennent toutes les cellules unes à unes. On peut voir également que l'Extra est le milieu interstitiel entre les cellules par lequel les échanges se font. Cet extra fait 14 litres au total (Lymphe circulante + lymphe interstitielle + sang). Cet Extra est particulièrement fin, et labyrinthique. Cet Extra peut être alimenté en eau par l'hydratation, mais en cas de déshydratation, c'est le contenu de la cellule (l'intra) qui se déverse dans l'extra. Cette image montre que le volume total d'eau dans les cellules est significativement supérieur au volume d'eau interstitiel. Par cette image, je souhaite mettre en évidence le cheminement particulièrement long que doit parcourir l'eau sortie de la cellule et chargée en ions pour rejoindre les intestins. Ces quelques mètres à parcourir pour un ion sont comme un Lille-Marseille à pied, et encore, il ne faut pas faire un pas en arrière, sinon l'ion regagne l'intra de cellule voisine. C'est-à-dire que l'ion squatterai indéfiniment la ...

... de ces derniers jours, j'ai pu observer une corrélation entre la température extérieure et la transpiration. C'est-à-dire, que je ne transpire quasiment pas pendant une longue marche où la température extérieure est de 15°. Alors que, Dès qu'il fait 25°, je me transforme en fontaine. [img]kator/smiley202.gif[/img] Comme c'est la transpiration qui m'intéresse, je vais délaisser la marche en hiver pour privilégier le sauna sec. Je pense planifier une semaine courante de façon à jumeler une déshydratation de trois jours et un sauna. Mercredi matin : Sauna. de Vendredi à Dimanche : Déshydratation. Lundi, Mardi, Mercredi après sauna, Jeudi : Hydratation en continu (de tôt le matin à tard le soir). Pour l'instant, je n'ai pas encore repris le cycle de déshydratations. Je n'ai fait qu'une déshydratation intermittente sur trois jours, et j'ai fait une déshydratation de 24h. Aucun désordre n'est apparu après ces crash-tests. C'est bon signe. Je vais pouvoir envisager une déshydratation de trois jours prochainement. Mais le système digestif fait encore des progrès grâce aux marches et au sauna. Donc, j'attends que ces progrès se tassent avant de relancer une déshydratation longue. Avec l'hiver qui approche, les marches ne devraient plus avoir d'effet. Donc je profite de ces derniers ...

... journées collectives de jeûnes. Page de la vidéo (Youtube) : [img]images/icones/icon2.gif[/img] 40 JOURS DE JEÛNE SEC ! (30') dont la présentation est la suivante : 29 Mars 2016 40 jours sans eau et sans nourriture... au cumul en alternant un jour de jeûne et un jour de nourriture, soit 80 jours au total. Retour sur une expérience fondatrice pour moi, et introduction à toute une série de vidéos sur le jeûne à venir en avril... Le jeûne, ligne directe vers la guérison, pourquoi, comment, pour qui ? Ce sera tout le sujet de cette série exceptionnelle de vidéos sur le jeûne. Si je prends mon point de vue, cette technique est également une déshydratation intermittente sur un cycle de 48h. À cette déshydratation, il cumule une privation de nourriture. Par rapport à une déshydratation stricte, cela est intéressant pour que les cellules épithéliales de l'intestin aient plus de temps pour se renouveler. Cela peut aider à améliorer significativement la facture des selles quand le système digestif est un peu erratique. Ainsi, les ML peuvent se fixer grâce à un épithélium renouvelé tout en s'éliminant par un mouvement péristaltique alternée. Normalement, l'épithélialium intestinal se renouvelle tous les quatre jours. Tous les jours, il y a donc un volume significatif de cellules épithéliales ...

Je n'ai pas encore repris mes expérimentations car la digestion n'est pas encore suffisamment robuste. Les selles sont certes normales pendant les deux premiers jours après le rupture d'un jeûne. Mais ensuite, la facture se dégrade. Désormais, elles demeurent certes suffisamment volumineuses et régulières mais elles deviennent (presque très) molles. Pour reprendre les déshydratations, j'attends donc que la digestion soit impeccable durablement. Ce cycle s'est répété trois ou quatre fois au cours des mois précédents. Le tube digestif est donc fonctionnel, mais il perd sa robustesse dès qu'il est sollicité au-delà de deux jours alimentés. Cela semble indiquer qu'Il s'agit d'un problème dans le ressourcement des cellules épithéliales. Ces dernières se ressourcent correctement pendant un jeûne, mais elles semblent pâtir d'une lenteur de renouvellement lorsque le tube digestif est en action. Leur renouvellement est donc trop lent par rapport au mouvement péristaltique et à leur exposition à l'usure de la digestion. En début de semaine, je suis donc passé à un repas par jour en veillant à ne pas augmenter pas la quantité de nourriture d'un repas. ...